Éphéméride 30 avril 1933 décès d'Anna de Noailles
30/04/22 16:29 Classé dans : Littérature | Poésie
30 avril 1933 : décès d'Anna de Noailles, poétesse et romancière française, membre du jury du prix Fémina (° 15 novembre 1876).
—> née Anna Elisabeth Bassaraba de Brancovan, c’est une poétesse et une romancière française d'origine roumaine, née à Paris le 15 novembre 1876 et morte dans la même ville le 30 avril 1933.
—> née Anna Elisabeth Bassaraba de Brancovan, c’est une poétesse et une romancière française d'origine roumaine, née à Paris le 15 novembre 1876 et morte dans la même ville le 30 avril 1933.
30 avril 1933 : décès d'Anna de Noailles, poétesse et romancière française, membre du jury du prix Fémina (° 15 novembre 1876)
Née Anna Elisabeth Bassaraba de Brancovan, elle est une poétesse et une romancière française d'origine roumaine, née à Paris le 15 novembre 1876 et morte dans la même ville le 30 avril 1933.
La comtesse Anna-Élisabeth de Noailles, née Bibesco Bassaraba de Brancovan, a écrit trois romans, une autobiographie et un grand nombre de poèmes.
Son lyrisme passionné s'exalte dans une œuvre qui développe, d'une manière très personnelle, les grands thèmes de l'amour, de la nature et de la mort.
En 1904, avec d'autres femmes, parmi lesquelles Jane Dieulafoy, Julia Daudet, Séverine et Judith Gautier, fille de Théophile Gautier, elle crée le prix "Vie Heureuse", issu de la revue La Vie heureuse, qui deviendra en 1922 le prix Fémina.
En 1920, son premier recueil de poèmes, Le Cœur innombrable, est couronné par l'Académie française. En 1921, elle en reçoit le grand prix de littérature. Plus tard, l'Académie française créera un prix en son honneur.
Née Anna Elisabeth Bassaraba de Brancovan, elle est une poétesse et une romancière française d'origine roumaine, née à Paris le 15 novembre 1876 et morte dans la même ville le 30 avril 1933.
La comtesse Anna-Élisabeth de Noailles, née Bibesco Bassaraba de Brancovan, a écrit trois romans, une autobiographie et un grand nombre de poèmes.
Son lyrisme passionné s'exalte dans une œuvre qui développe, d'une manière très personnelle, les grands thèmes de l'amour, de la nature et de la mort.
En 1904, avec d'autres femmes, parmi lesquelles Jane Dieulafoy, Julia Daudet, Séverine et Judith Gautier, fille de Théophile Gautier, elle crée le prix "Vie Heureuse", issu de la revue La Vie heureuse, qui deviendra en 1922 le prix Fémina.
En 1920, son premier recueil de poèmes, Le Cœur innombrable, est couronné par l'Académie française. En 1921, elle en reçoit le grand prix de littérature. Plus tard, l'Académie française créera un prix en son honneur.