25/10/2014, 20:19
Bonjour,
Sauf erreur de ma part, il me semble que des versions de poèmes que vous proposez contiennent des anomalies.
- Les Tuileries - Victor Hugo (Pentasyllabe)
Au vers 76, il me semble que la version proposée présente une erreur métrique.
Le mot "ombres" au pluriel interdit l’élision, provoquant un déséquilibre métrique (Hexasyllabe).
Par conséquent, au pluriel, "ombres" renferme un e muet que la consonne finale ne permet pas d'élider.
- Les pauvres gens - Victor Hugo
Au vers 122, il me semble que la version proposée présente une erreur de césure.
Le non-respect de la licence orthographique du mot "encor" devant "HÉ" entraîne une césure épique (Apocope à l'hémistiche), prohibée en versification classique.
Dictionnaire de l'Académie française 1835 :
HÉ. (H s'aspire.) Interjection qui sert principalement à appeler.
Au vers 27, une erreur de typographie.
J'espère que ces informations aideront.
JB
Sauf erreur de ma part, il me semble que des versions de poèmes que vous proposez contiennent des anomalies.
- Les Tuileries - Victor Hugo (Pentasyllabe)
Au vers 76, il me semble que la version proposée présente une erreur métrique.
Le mot "ombres" au pluriel interdit l’élision, provoquant un déséquilibre métrique (Hexasyllabe).
Par conséquent, au pluriel, "ombres" renferme un e muet que la consonne finale ne permet pas d'élider.
- Les pauvres gens - Victor Hugo
Au vers 122, il me semble que la version proposée présente une erreur de césure.
Le non-respect de la licence orthographique du mot "encor" devant "HÉ" entraîne une césure épique (Apocope à l'hémistiche), prohibée en versification classique.
Dictionnaire de l'Académie française 1835 :
HÉ. (H s'aspire.) Interjection qui sert principalement à appeler.
Au vers 27, une erreur de typographie.
J'espère que ces informations aideront.
JB